C'est ce qu'a déclaré le Premier ministre Erdogan .D'après lui ce sont des puissances étrangères qui perturbent le Brésil.
Le Spiegel allemand a fait sa 1ère page en turc "Tenez bon" ecrivent-ils aux opposants turcs.
Pendant ce temps , dans son pays , la Turquie , la contestation , même si elle a quitté la place Taksim par la force & les arrestations suivies de fichages, la contestation continue .
Le rappel des derniers jours :
"Ce n'est qu'un début , le combat continue !" scandent les manifestants revenus sur le place Taksim face à des centaines de policiers antiémeutes , appuyés par plusieurs blindés.
On entend aussi "Erdogan démission" & "c'est en résistant que nous vaincrons".
Des oeillets rouges sont jetés sur les marches duu parc Gezi, symbole des 4 morts, des 7800 blessés et des milliers de gens arrêtés.
Les manifestants agitent des drapeaux turcs et ceux de "Solidarité Taksim", la coordination des associations de protestation, , en évitant tout
drapeau d'organisations interdites.
Par ailleurs en représailles à la convocation de l'ambassadeur turc en Allemagne, l'ambassadeur allemand en Turquie a été convoqué par le Ministre des Affaires étrangères turc.
La "démocratie turque" montre son vrai visage :
Le rappel des faits :
450 arrestations à Istanbul . A Ankara, "entre 100 et 130 personnes ont été arrêtées" selon une responsable du barreau de la capitale. La garde à vue dure 4 jours la-bas.
Toute la journée des affrontements se sont produits entre la police turque et des milliers de manifestants dans les deux principales villes de Turquie.
Les deux syndicats majoritaires ont décré une grève générale.
Le Premier ministre turc Recep Erdogan après "un dernier avertissement " avait fait évacuer par la force publique, les manifestants occupants du parc Gezi à Istanbul . Il y a quelques jours la police turque avait arrêté sans ménagement 73 avocats en plein Palais de Justice, que certains ont déjà rebaptisé palais d'injustice. Aujourd'hui Mr Erdogan semble miser sur l'arrivée des vacances , et l'appui populaire de la province, pour user de la force
Nersès Durman signe ici sa chronique :